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vendredi 17 février 2017

Le Zoo de Wellington... Enfin !

Planifier d'aller dans un zoo est une chose mais y aller pour de vrai en est une autre. La première est facile mais le seconde nécessite un ingrédient indispensable : un temps correct. Et comme l'un de es colloc' me l'a appris, cet Eté est le pire depuis les années 1980. De fait, trouver un jour de temps au minimum correct et où je ne travaillais pas a été un peu compliqué. Mais on a fini par trouver ce jour magique dans ce splendide mercredi 15 Février 2017. Donc avec Joe on est allé voir plein d'animaux.
C'était à la fois trop chou et trop triste. Trop chou parce qu'il y a plein d'animaux trop mignons et très triste parce certains enclos étaient vraiment petits. Et puis aussi, ça a beau être sympa, c'était super cher pour ce que c'était : heureusement qu'on a eu moitié prix. Au moins, on peut se dire que ces animaux ne vont pas se faire braconner. C'est toujours ça de pris (oui on en est là). Mais bn, reveons a de la mignonnerie. 



Oui, ce sont bien d'adorables otaries qui nous accueillent. Ces petites bestioles dormaient et rêvaient et se grattouillaient au soleil. C'est trop chou et puis c'est tout. Je veux une otarie en peluche.


On croise ensuite un genre de rat mais de la taille d'un chien. Trop mimi et unique et qui vivent en cohabitation avec de petits singes. Comme quoi on peut vivre entre amas de cellules même si on ne ressemble pas.




























Les enclos des différents singes ont d'ailleurs le bon goût d'être plutôt grands et surtout ouvert notamment pour les chimpanzés qui, en dehors de se gratter les couilles, aiment visiblement admirer le match de rugby en contre-bas. Mais forcément tous les animaux n'ont pas cette chance pour la vue. Pensons donc tous à ces oiseaux et insectes qui voient constamment des gens se coller à la vitre de leur cage pour les regarder de plus près. Evidemment on l'a fait aussi mais j'ai eu un grand moment de "mais ça doit être trop bizarre et super désagréable de vivre ça tous les jours."
























Bon, en vrai, ce charmant perroquet n'est pas derrière du verre mais il reste coincé. Au moins il a l'air d'apprécier la compagnie des humains et, honnêtement, j'espère pour lui que c'est le cas. Cela dit il n'y a pas que des animaux en cage-enclos, il y en a aussi en liberté : les neighboors animals dont des émeus (Louison j'ai pensé à toi) et des wallabies.


En vrai, les émeus ont vraiment une tête de méchant. Pourtant ils sont moins loin de chez eux que la famille du Roi Lion. Certes on a pas vu les lions mais il y avait des girafes ("Je voudrais déjààà être roiiiiii") et un suricate des plus chou. je veux une peluche suricate (et regarder les sketchs des Suricates mais ça n'a rien à voir).




Et donc, après le suricate top model (regard à gauche, regard à droite et pile en face), la visite s'est poursuivi avec un animal des plus étranges. jamais vu dans nos contrées européennes. je veux bien sur parler de ce splendide spécimen de Mouton ! Et on a même pu le nourrir. Étrange animal que voici.

























Moins étrange mais tout aussi mignon : un sublime ours malais (merci internet pour la traduction de sun bear) qui s'est approché du public pour manger.




Et pour finir en beauté, de nouvelles espèces de volatiles. pas en cage mais sur terre et sur eau. D'adorables pingouins (une peluche pingouin aussi) et de quoi augmenter ma collection de Canards (et c'est pas fini !).







Deux petites heures et c'était déjà fini. Un bon moment au final mais je doute aller voir d'autres zoos. Des espaces comme Zealandia ou Somes Island avec des animaux en vrai liberté me tente bien plus. Est ce que c'est la place d'un animal d'Afrique ou du Pôle Nor de vivre dans un autre pays au climat si différent ? Ou est ce que c'est devenu indispensable pour ne pas les voir disparaître et qu'ils puissent vivre un minimum en paix ? Enfin si on considère que d'autres animaux (nous les humains) qui les observent comme un film et les mitraillent de photos soient une vie saine. En tout cas, j'espère qu'ils sont aussi heureux qu'ils peuvent l'être ici.

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